RANDO STORY RIONS JEUDI 6 OCTOBRE 2011


MEME PAS PEUR D’UN PETIT CRACHIN

Une bise sous la halle et hop ! c’est parti ! en route pour RIONS, à une trentaine de kilomètres au sud de Bordeaux.

Les vacanciers de septembre sont de retour et l’effectif remonte : 73 candidats sont au départ pour notre ration hebdomadaire d’une dizaine de kilomètres.

Au menu : alternance de plats, de côtes et de descentes.

Au départ, un tout petit crachin a essayé de nous intimider, histoire de faire prendre l’air aux vêtements de pluie, avec quelques petites récidives, mais rien de méchant.

Avec notre entrain habituel, nous nous dirigeons vers le chemin de halage jusqu’à l’ancienne maison du passeur, sur pilotis, face à Podensac; nous jetons un petit coup d’oeil sur les carrelets des pêcheurs et nous reprenons le rythme vers une zone de micro-climat qui, un instant, nous dépayse : il suffit de levers les yeux pour voir des bananes, oui, des bananes et leurs fleurs sur de vrais bananiers. Surprenant ! mais revenons dans notre région : nous marchons sur les chemins contournant les grandes parcelles de vignes, et après une bonne grimpette, nous profitons d’être sur la hauteur du côteau pour admirer un beau point de vue et faire une petite halte au lavoir du Juniac qui tient compagnie à la source élégamment « chapeautée » d’une petite tour.

Puis, nous redescendons et, bien que protégée par ses remparts, nous envahissons les ruelles de la cité médiévale de Rions en pénétrant par la voûte de la tour de Lyan, nous longeons l’église, frôlons la fontaine en fonte, tournons au coin de la rue, le parking est en vue… c’est déjà fini pour ce jeudi.

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RANDO STORY CISSAC JEUDI 24 MARS 2011

LE PRINTEMPS

C’est officiel, le printemps est arrivé !

Et nous l’avons vérifié : les arbres verdissent, les fleurs égayent le décor de leurs délicates couleurs et le soleil illumine le tout.

 Et, c‘est par une magnifique journée de cette belle saison que 95 randonneurs ont arpenté plus de 13 kilomètres sur de beaux sentiers au milieu des vignes médocaines.

Toutefois, fallait-il faire attention à ne pas s’entraver dans les touffes d’herbe ou les rouleaux de fil de fer…

Soûlés de grand air et de soleil, nous sommes revenus un peu fatigués de cette longue randonnée.
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LES SOURCES DE CENON JEUDI 17 MARS 2011

A LA DECOUVERTE DES SOURCES

Cette rando nous a permis de découvrir une coulée verte qui, à terme, permettra de relier Bassens, Lormont, Cenon et Floirac à travers les parcs de ces communes.
Cenon compte 13 sources dont 6 sont encore actives. Pour les trouver, il nous a fallu affronter une succession de montées et de descentes dans les parcs et rues du Haut Cenon, mais 72 candidats curieux  étaient présents sur le parking du centre culturel et sportif de Cenon devant le château Palmer (18ème et 19ème siècles).
Tout d’abord, à droite, nous est apparu « Le Rocher de Palmer », nouvelle salle de spectacles des Hauts de Garonne. Nous avons cheminé dans le parc Palmer qui offre une vue panoramique sur la Garonne et Bordeaux. Ce parc s’étend sur 21 hectares de pelouses et d’arbres et fut, autrefois, une grand cru de Bordeaux.
Au pied du coteau, nous avons trouvé la source Palmer qui ne coule plus, puis, dans une petite rue en impasse,  la source des Carrières qui a un débit de 10 m3/jour. Nous sommes allés jusqu’au château du Diable pour voir la source Voisin Roux. Après avoir traversé la résidence Beau Site, nous avons admiré un magnifique panorama sur Bordeaux et les environs. Hélas, le temps était couvert et brumeux.
La source de la Hountine, captée, est enterrée sous la rue du Maréchal Galliéni, laquelle nous a menés au parc du Cypressat où coule la source du même nom. Ce parc, entièrement réaménagé pour la promenade, est ouvert à nouveau au public depuis un an. Chemin faisant, nous avons croisé la fontaine de Cypressat Bellefonds. Puis, nous avons longé le château le Moine (centre de réadaptation) pour arriver à l’église Saint-Romain (12ème -18ème siècles) avec son petit cimetière dominant Bordeaux et ombragé de cyprès.
Notre circuit s’est achevé à la source Canelle ou Vieille Cure, du nom de la distillerie qui a existé jusqu’en 1987. Au retour, nous sommes passés devant le château Tranchère (début du 19ème siècle) qui fut, aussi, une propriété viticole avant de devenir, en 1972, la propriété de la commune, comme le château Palmer.
La boucle étant bouclée, nous sommes rentrés ravis de cette belle promenade enrichissante.
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Le mille-pattes de Blanquefort